Extérieurement nous allons paisiblement côt

Extérieurement nous allons paisiblement côt
Extérieurement nous allons paisiblement côte à côte, mais pendant ce temps-là l'air qui nous sépare est sillonné d'éclairs comme si quelqu'un le fendait continuellement à coup de sabre. Franz Kafka

Extérieurement nous allons paisiblement côte à côte, mais pendant ce temps-là l’air qui nous sépare est sillonné d’éclairs comme si quelqu’un le fendait continuellement à coup de sabre.

Franz Kafka

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