J’aperçois des barreaux à travers lesquels le soleil lui comme une marâtre, et le zéphyr, pour votre tourment, semble vous apporter les soupirs de la bouche dont vous ne devez plus sentir les doux baisers.
Charles Robert Maturin
J’aperçois des barreaux à travers lesquels le soleil lui comme une marâtre, et le zéphyr, pour votre tourment, semble vous apporter les soupirs de la bouche dont vous ne devez plus sentir les doux baisers.
Charles Robert Maturin
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