Assis sur les genoux d'une mère pauvre, tout enfant est riche.

La misère a ses gestes. Le corps même à la longue prend des habitudes de pauvre.

Il vaut mieux être pauvre que d'avoir des richesses mal acquises.

Nous avons l'habitude de dire à la Maison Blanche que si il y a un endroit trop dangereux, trop petit ou trop pauvre, envoyez la Première Dame.

Le pauvre sera odieux à ses proches mêmes, mais les riches ont beaucoup d'amis.

Dans ce balbutiement de cette pauvre esquisse d'une révolution oubliée, seule reste à nu la cruauté, dans le ressac des sentiments.