Dans la vie, les hommes sont tributaires les uns des autres. Il y a donc toujours quelqu'un à maudire ou à remercier.

La vie et la mort boxent dans la même catégorie.

La vie n'est pas recherche d'expériences mais de soi-même.

Un humanisme bien ordonné ne commence pas par soi-même, mais place le monde avant la vie, la vie avant l'homme, le respect des autres êtres avant l'amour-propre.

Toute vie n'est qu'acide nucléique. Le reste, ce sont des commentaires.

La vie, ça bouge, ça bourdonne, ça construit et démolit, ça avance et ça recule, ça danse. Et ça meurt.