L'homme pour moi est la cerise sur le gâteau. Mais je suis la tarte et ma tarte est bonne toute seule. Même si je n'ai pas de cerise.

L'homme, c'est le nom commode qu'on a donné, complet, fini, satisfaisant, à quelque chose qui ne l'est guère. On a fait l'opération contraire avec le mot Dieu.

Le malheur est un marchepied pour le génie, une piscine pour le chrétien, un trésor pour l'homme habile, pour les faibles un abîme.

Les heures sont faites pour l'homme, et non l'homme pour les heures.

L'homme est comme un temple. Quand la colonne est brisée, il tombe, et les femmes n'y portent plus leurs dévotions.

La bonté est une vertu, mais ce n'est pas toujours par vertu qu'une femme a des bontés pour un homme.