Citations Gens

A la guerre, on devrait toujours tuer les gens avant de les connaître.

Il (Jean d'ormesson) était complètement mêlé à notre histoire et à notre culture, comme peu de gens le sont aujourd'hui. Sa disparition est une perte personnelle, mais aussi une perte pour la culture, la civilisation et l'image de la France.

Quand les gens me demandent, que puis-je faire? Comment puis-je aider? Je leur dirais ce que ma mère m'a dit une fois: «fais confiance à tes instincts. Donne ce que tu peux, qu'il s'agisse de l'argent, du temps, des ressources, de ton nom, de ta célébrité ou d'un acte inspirant, d'une chanson ou d'un mot.

Les gens vous cataloguent. Ce n'est pas parce qu'on fait rire qu'on ne peut pas pleurer.

Les gens qui travaillent assis sont payés plus chers que ceux qui travaillent debout.

Prendre femme est étrange chose ; Il y faut penser mûrement. Sages gens, en qui je me fie, M'ont dit que c'est fait prudemment Que d'y songer toute sa vie.

J'ai toujours été surpris de voir à quel point les gens sont toujours flattés d'être invités à une première. L'idée ne les effleure jamais que c'est peut-être simplement pour être débarrassés d'eux dès le premier soir.

L'anecdote est à double fin. Aux gens de valeur elle permet de dissimuler leur pensée, aux autres leur Anonymeité.

Les gens luttent pour vivre, pas pour se suicider.

Les gens ne m'invitent pas, de peur que je les juge, eux ou leurs intérieurs.

Les gens ne devraient pas toujours tant réfléchir à ce qu'ils doivent faire, ils devraient plutôt penser à ce qu'ils doivent être.

Beaucoup de gens très intelligents sont mauvais en maths et ne surmontent jamais vraiment d'avoir des lacunes dans un domaine aussi important.

Je suis l'ennemi des mauvais mariages, car les gens mal mariés, maussades, infidèles et malheureux, font du tort à l'amour !

C'est effrayant de vivre avec des gens qui vous connaissent. Ils vous empêchent de changer en ne s'apercevant pas que vous êtes un autre.

La majorité des gens ignore qui je suis.

Rien ne me répugne comme lorsque les gens fraternisent parce que chacun voit dans l'autre sa propre bassesse.