C'est beaucoup de choses l'image : une belle gueule, un beau parler, une poignée de main ferme, un regard droit, du linge bien repassé, l'air d'avoir toujours envie de se trouver là où on est et de penser profondément ce que l'on dit.

A mesure que les acteurs deviennent mauvais, le public vient. Un mauvais acteur attire le public comme la viande avariée attire les mouches.

Avoir l'expérience du malheur ne suffit pas, car on est toujours malhabile avec les autres. Leur souffrance n'est jamais comparable à la nôtre.

Faire un mauvais film, c'est quand même beaucoup moins grave que d'attaquer une vieille.

Quelque aspect que revête notre connaissance, se tapit toujours au fond l'ivresse de connaître.

La grâce est toujours unie à la magnificence dans les scènes de la nature.