Je passe ma vie à préparer une image déformée du cadavre que je serai, comme s'il n'allait pas se déformer suffisamment tout seul.

On a beau se tenir à l'écart, les gens finissent toujours par vous mêler à leurs intrigues.

Le public pense tout seul ce qu'on lui dicte.

Qui peut jamais être seul un instant en Italie ? Chaque pierre a une voix, chaque grain de poussière semble être l'instinct d'un esprit du Passé, chaque marche rappelle quelque ligne, quelque légende d'une tradition depuis longtemps à l'abandon.

Maman toi qui nous a donné la vie nous voulons à notre tour te dire Merci De là haut malgré la route qui nous sépare Tu seras toujours notre rayon d'espoir.

Cette mélancolie qu'ont les femmes qui ont cherché le bonheur et qui n'ont trouvé que l'amour.