Danser en temps de guerre, c'est comme cracher à la gueule du diable.

Quand on écrit ses mémoires, on se fait deux sortes d'ennemis. Ceux dont on parle. Et ceux dont on ne parle pas.

A la guerre, on tue non pour tuer, mais pour ne pas être tué.

Chaque guerre augmente l'image d'une guerre globale, celle d'un conflit de civilisation.

La guerre serait un bienfait des dieux si elle ne tuait que les professionnels.

La façon la plus rapide de mettre fin à une guerre est de la perdre.