Ne demandez pas à l'école de vous donner des frissons, demandez-lui plutôt de vous étonner.

L'homme est naturellement bon ; il aime à faire payer les services qu'on lui rend.

L'homme qui se croit Dieu tue le dieu qu'il porte en lui. L'homme qui ne pense plus aussi loin que Dieu tue la création qu'il porte en lui. L'homme qui ne se soucie plus de sa divinité ferme la porte à sa félicité.

Celui qui accepte le mal sans lutter contre lui coopère avec lui.

L'homme n'est jamais un ; en étant double ou multiple, il peut presque devenir le contraste de lui-même.

Le corps est l'instrument de l'esprit, mais l'esprit n'est lui-même que l'esclave des passions du corps. Comment peut-on alors tendre vers l'autre ?