L'homme n'a qu'un mal réel : la crainte de la mort. Délivrez-le de cette crainte et vous le rendrez libre.

C'est parce qu'il attend peu du mariage que l'homme n'en désespère pas et qu'il ne voudra plus en sortir même en cas de faillite - comme on tient à un emploi qui ne vous donne plus de plaisir mais assure toujours vos fins de mois.

Après avoir têté sa mère, un homme doit têter l'oreille de sa femme : il ne doit jamais prendre de décision sans la consulter.

La course est le seul moment où je me sens entier.

Quel homme je suis ! Quel homme je suis ! Je la tourmente jusqu'à la mort et moi avec.

Je ne m'y ferai sans doute jamais, dés qu'arrive la date de ton départ, je ne suis plus la même : les souvenirs envahissent mon esprit et je me sens tourmentée. La vie continue avec ses joies et ses peines, [...] ►