L'existence n'est qu'un éternel tribunal nous condamnant à la pénible sentence du supplice inextinguible, immuable et impérissable qu'est la vie.

Entre vice et vertu, dans un monde où les gens n'y croient plus, l'Amour, maître de la vie, restera toujours pure Energie...

Et mon bonheur, à moi, n'est pas de cette vie.

On n'a pas trop d'une vie pour se comprendre. Le défaut, c'est de vouloir descendre en profondeur.

Les fondements mêmes de toute vie spirituelle sont, primo : discerner le réel et l'illusoire ; et secundo : se concentrer sur le réel.

L'absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l'action.