Parmi ceux qui lisent, il y en a vingt qui lisent des romans, contre un qui étudie la philosophie. Le nombre de ceux qui pensent est excessivement petit, et ceux-là ne s'avisent pas de troubler le monde.

Personne ne sortira d'ici, qui pourrait porter au monde, avec le signe imprimé dans la chair, la sinistre nouvelle de ce que l'homme, à Auschwitz, a pu faire d'un autre homme.

Le cinéma substitue à nos regards un monde qui s'accorde à nos désirs.

Ce n'est pas la fin du monde si on perd.

La résolution chrétienne de considérer le monde comme laid et mauvais a rendu le monde laid et mauvais.

Je parie que ce qui a motivé les Anglais à coloniser la moitié du monde, c'est qu'ils cherchaient juste un repas décent !