Je pense que nous devons être conscients que les gens sont autorisés à faire des erreurs.

Les gens ont oublié comment raconter une histoire. Les histoires n'ont plus de milieu ni de fin. Ils ont généralement un début qui ne cesse jamais de commencer.

Au fond, c'est une jouissance que d'attendre l'épouvante.

Il est regrettable pour l'éducation de la jeunesse que les souvenirs sur la guerre soient toujours écrits par des gens que la guerre n'a pas tués.

J'ai appris à quel point il est important de divertir les gens et de leur donner une raison de venir vous voir jouer.

La coutume pour les parents d'embrasser leurs enfants avant qu'ils ne s'endorment se perd : ils sont trop fatigués pour attendre que leurs enfants rentrent se coucher.