Citations Citations

Avec le violon, il faut choisir : ou bien tu joues juste, ou bien tu joues tzigane.

Je ne me suis jamais demandé quand est-ce que je vais mourir. Je me suis juste demandé ce que je peux faire tant que je suis encore en vie.

Faites ce que votre coeur vous dit de faire.

Les sources d'un écrivain, ce sont ses hontes ; celui qui n'en découvre pas en soi, ou s'y dérobe, est voué au plagiat ou à la critique.

On veut bien croire que le cerveau humain évolue, mais alors il y a des pays qui sont épargnés.

Le réel me donne de l'asthme.

Il existe un havre où l'on peut toujours savourer une relation authentique : le coin du feu chez un ami auprès duquel on peut se défaire de ses petites vanités et trouver chaleur et compréhension.

Les vieillards ont besoin de toucher quelquefois, de leurs lèvres, le front d'une femme ou la joue d'un enfant, pour croire encore à la fraîcheur de la vie et éloigner un moment les menaces de la mort.

Notre intelligence tient dans l'ordre des choses intelligibles le même rang que notre corps dans l'étendue de la nature.

Un restaurant gastronomique, c'est un restaurant qui donne la gastro ?

Toute communauté - un jour, quelque part, d'une manière ou d'une autre - rend "commun".

Pour moi, un objet est quelque chose de vivant. Cette cigarette ou cette boîte d'allumettes contient une vie secrète bien plus intense que celle de certains êtres humains.

Dans une société il y a toujours des gens qui ne font rien et qui savent tout, et d'autres qui veulent tout faire et ne comprennent rien.

Je suis un petit Juif de Vitebsk. Tout ce que je peins, tout ce que je fais, tout ce que je suis, c'est juste le petit juif de Vitebsk.

Il est donc évident que l'on ne peut pas construire une authentique maison commune européenne sans tenir compte de l'identité propre des peuples... Une identité historique, culturelle et morale avant d'être géographique, économique ou politique; une identité construite sur un [...] ►

Le malade prend l'avis du médecin. Le médecin prend la vie du malade.