ChangerLes pauvres ont un penchant à donner à de plus pauvres qu'eux... Quand on vit au jour le jour, ce n'est pas changer son état que de se démunir... Donner quand on possède, voilà qui est difficile. — Anatole France
AdultePar ailleurs, la naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l'on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l'enfant croit au Père Noël. L'adulte non. L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote. — Pierre Desproges
BonnesUne mauvaise chose concernant les bonnes choses, c'est qu'elles ont une fin, et la bonne chose concernant les mauvaises choses est qu'elles ont aussi une fin. — Anamaria Rabatte Y Cervi
MomentLa vie spirituelle commence à partir du moment où nous découvrons que toute la réalité de nos actes réside dans les pensées qui les produisent. — Louis Lavelle
PendantJe suis toujours en retard au lit - habituellement après minuit - mais je dors pendant environ dix heures. — Bonnie Tyler
EnsembleSois inquiet pour ton frère... quand on monte ensemble ou qu'on descend ensemble. — Martin Luther King
AutreLe bien et le mal ne sont pas deux mondes cloisonnés, étrangers l'un à l'autre... La frontière est parfois imperceptible entre eux. — Charlotte Savary
DemandeMais l'amitié demande un peu plus de mystère, Et c'est assurément en profaner le nom Que de vouloir le mettre à toute occasion. — Molière
ComprendsJe ne comprends pas aujourd'hui comment j'eus la bêtise de lui répondre et de me fâcher, au lieu de lui rire au nez pour toute réponse. — Jean-Jacques Rousseau
CheminTout le monde connaît, au moins de réputation, le théâtre national de l'Opéra. J'ai eu le regret de constater qu'il n'avait pas changé : pour le passant mal prévenu, ça ressemble toujours à une gare de chemin de fer; une fois entré, c'est à s'y méprendre une salle de bains turcs. — Claude Debussy
ChosesLes auteurs les plus originaux d'aujourd'hui ne sont pas ceux qui apportent du nouveau, mais ceux qui savent dire des choses connues comme si elles n'avaient jamais été dites avant eux. — Goethe