BoutMets tes paroles sur le bout de ton doigt et tourne-les de sept manières avant de les exprimer : aucun mal ne résultera jamais de tes paroles. — Sagesse Celte
CatholiqueLe juif est un homme qui lit depuis toujours, le protestant est un homme qui lit depuis Calvin, le catholique est un homme qui lit depuis Ferry. — Charles Péguy
CharmeJe ne sais pourquoi je trouve du charme à regarder un champ inculte. Cela représente le possible. — Victor Hugo
FemelleL'instinct maternel est divinement animal. La mère n'est plus femme, elle est femelle. — Victor Hugo
PrincipesLa spiritualité est le souffle qui habite les principes, sans lequel ils restent des fantômes évanescents. — Abd Al Malik (chanteur)
JamaisJe connais un tas de types à qui je ne pardonnerai jamais les injures que je leur ai faites. — Georges Clemenceau
AmourL'amour platonique est impossible entre deux jeunes gens, tôt ou tard l'un ou l'autre succombe, c'est un piège dangereux. — Eugène Sue
CritiqueUne mauvaise critique, c'est comme fabriquer un gâteau avec les meilleurs ingrédients et voir quelqu'un s'asseoir dessus. — Danielle Steel
LendemainQuand on ne travaillera plus le lendemain des jours de repos, on aura fait un grand pas en avant dans la marche arrière du progrès social. — Pierre Dac
SensC'est dans le travail que l'on retrouve le sens de l'orientation. Tout le reste n'est que chimères. — Charlie Chaplin
ExempleJ'ai toujours rejeté pour ma part le principe d'immigration zéro. Il n'est ni réaliste, ni souhaitable. Appliquer 'l'immigration zéro' reviendrait par exemple à interdire les mariages mixtes, ou à fermer totalement nos universités aux étudiants étrangers. — Nicolas Sarkozy
HaineCe ne sont ni les brigands ni les incendies qui détruisent le monde, mais la haine, l'hostilité, les petites intrigues... — Anton Tchekhov
ChosesLe kitsch c'est une esthétique qui est soutenue par une vision du monde, c'est presque une philosophie. C'est la beauté en dehors de la connaissance, c'est la volonté d'embellir les choses et de plaire, c'est le conformisme total. — Milan Kundera