EnfantsL'ingratitude la plus odieuse, mais la plus commune et la plus ancienne, est celle des enfants envers leurs pères. — Luc De Clapiers Marquis De Vauvenargues
MeilleurLe bon vieux temps : tout ce que la mémoire range dans ses débarras en gommant le médiocre pour ne retenir que le meilleur. — Philippe Bouvard
ChosesLes formes et les choses se manifestent à celui qui n'est pas attaché à son être propre. Dans ses mouvements, il est comme l'eau ; dans son repos il est comme un miroir, et dans ses réponses, il est comme l'écho. — Lao Tseu
PartoutLes politiciens sont les mêmes partout. Ils promettent de construire un pont même là où il n'y a pas de fleuve. — Nikita Khrouchtchev
DésordreOn ne doit jamais laisser se produire un désordre pour éviter une guerre ; car on ne l'évite jamais, on la retarde à son désavantage. — Machiavel
BoutC'était par-dessus tout un opiniâtre. Il se servait de la méditation comme on se sert d'une tenaille ; il ne se croyait le droit de quitter une idée que lorsqu'il était arrivé au bout ; il pensait avec acharnement. — Victor Hugo
AvoirPour s'améliorer, il faut changer. Donc, pour être parfait, il faut avoir changé souvent. — Winston Churchill
EnfantOn peut grandir, et même vieillir, mais pour sa maman on est toujours un petit enfant. — Jean Gastaldi
MoyensLe vrai démocrate est celui qui, par des moyens non violents, défend sa liberté, par conséquent celle de son pays, et finalement celle de l'humanité toute entière. — Gandhi
ChevalEn voyant le dimanche matin les gens jouer au tiercé on se met à penser que l'homme est la moins noble conquête du cheval. — Pierre-Jean Vaillard
EstimeIl est impossible d'admirer un chef-d'Ïuvre sans éprouver en même temps une certaine estime de soi. — Victor Hugo
CheveuxOn reconnaît le rouquin aux cheveux du père et le requin aux dents de la mère. — Pierre Desproges
GensJ'ai toujours remarqué que les gens faux sont sobres, et la grande réserve de la table annonce assez souvent des moeurs feintes et des âmes doubles. Un homme franc craint moins ce babil affectueux et ces tendres épanchements qui précèdent l'ivresse... — Gabriel Delaunay