AttentionLe regard est un choix. Celui qui regarde décide de se fixer sur telle chose et donc forcément d'exclure de son attention le reste de son champ de vision. C'est en quoi le regard, qui est l'essence de la vie, est d'abord un refus. — Amélie Nothomb
AutreCe que je fais c'est entendre une émotion qui vient de mon coeur et j'essaie de la transcrire sur une basse ou une guitare ou un autre instrument. — Richard Bona
AmourL'amour ne meurt jamais de mort naturelle. Il meurt parce que nous ne savons pas comment revenir au fondement de cet amour. Il meurt de la cécité, des erreurs et des trahisons. Il meurt de maladie et de blessures. Il meurt d'ennui et de flétrissement. — Anais Nin
PenserQuand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, je suis bien content de penser ce que je pense. — Fernand Raynaud
AmourLes guerres passent. Seules les oeuvres de la culture ne passent pas. D'où mon amour de l'art. La musique, l'architecture ne sont-elles pas les forces qui montrent le chemin à l'humanité montante ? Quand j'entends du Wagner, il me semble percevoir le rythme du monde antérieur. — Adolf Hitler
AimeJ'aime bien les amis comme j'aime bien la musique : quand je suis d'humeur ; mais une telle liberté se paye parfois d'une certaine solitude. — Charlie Chaplin
AvantagePoisson rouge : animal de compagnie qui, par rapport au chat, présente l'avantage de moins s'acharner sur les rideaux du salon. — Marc Escayrol
AutreLe beau côté de notre métier de pilote de ligne est de s'imaginer, de temps à autre, que nous vivons loin des choses d'ici-bas, que notre existence est faite d'une suite d'aventures. — Jean Mermoz
ChoseOn voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver. — George Moore
AmourLa grande différence entre l'amour et l'amitié, c'est qu'il ne peut y avoir d'amitié sans réciprocité. — Michel Tournier
BeauLes héros ont notre langage, nos faiblesses, nos forces. Leur univers n'est ni plus beau ni plus édifiant que le nôtre. Mais eux, du moins, courent jusqu'au bout de leur destin. — Albert Camus