Citations Nation

Chaque nation aime sa cuisine. Elle la considère comme la meilleure de toutes. Chacune a raison, car elle ne peut s'en passer.

C'est un des problèmes les plus poignants d'une guerre, de choisir par avance lesquels de ses défenseurs-nés une nation doit offrir les premiers au sacrifice.

C'est un appel solennel que je fais à chacun d'entre nous : soyons à la hauteur de cet événement (Coronavirus), qui n'a pas de précédent dans les cent dernières années, mais qui exige de notre Nation d'être solide, soudée, et civique.

L'Algérie est un pays subjugué par le mythe de la nation arabe, car c'est au nom de l'arabisation que l'on réprime le tamazight. En Algérie, comme dans le monde entier, on croit que l'arabe est la langue des Algériens.

Le capitalisme populaire n'est rien d'autre qu'une croisade destinée à permettre au plus grand nombre de participer de plein droit à la vie économique de la nation.

La nation, ce n'est pas un bouillon. Elle est une agglomération de populations identiques qui ont créé une civilisation propre à leur identité.

Les similitudes sont réelles entre Louis XVI et François Hollande : ils sont animés d'une idée de consensus nécessaire pour faire évoluer la nation.

Dans une nation qui est dans la servitude, on travaille plus à conserver qu'à acquérir. Dans une nation libre, on travaille plus pour acquérir qu'à conserver.

Les rides d'une nation sont aussi visibles que celles d'un individu.

Une nation est une société unie par des illusions sur ses ancêtres, et par la haine commune de ses voisins.

Il n'y a pas de professions, de confréries, de peuples dans notre pays ; il n'y a qu'une nation : c'est la famille.

Dans une nation vraiment cultivée, personne n'a le droit de priver un homme de liberté de façon arbitraire.

L'armée est une nation dans la nation ; c'est un vice de nos temps.

La grande colère et la violence ne peuvent jamais construire une nation.

Dictateur. Chef d'une nation qui préfère la pestilence du despotisme à la plaie de l'anarchie.

Nous sommes une nation où les intérêts supérieurs de l'Etat s'arrêtent aux frontières des intérêts inférieurs des particuliers.