La conscience, comme l'appendice, ne sert à rien, sauf à rendre l'homme malade.

La conscience fait de nous tous des couards.

On fausse son esprit, sa conscience, sa raison, comme on gâte son estomac.

Dans toute l'étendue du règne animal la conscience apparaît comme proportionnelle à la puissance de choix dont l'être vivant dispose.

La souffrance est l'unique cause de la conscience.

L'écriture, en Chine, est la manifestation la plus élevée de la conscience. Écrire sur un objet, c'est lui accorder toute son âme, le dédier à soi-même.