Citations Pensées

Les têtes se forment sur les langages, les pensées prennent la teinte des idiomes, l'esprit, en chaque langue, a sa forme particulière.

Et qu'est-ce que l'amour ? Quelque chose d'effrayant, de monstrueux, qui dévore le coeur et dirige toutes vos pensées. Un sentiment disproportionné par rapport au coeur humain parce qu'à la mesure d'un dieu.

J'ai toujours l'impression de pouvoir tout faire. C'est la principale chose par laquelle les gens sont contrôlés : pensées et perceptions de vous-même... Si on vous apprend que vous ne pouvez rien faire, vous ne ferez rien.

Les écrivains : nous sommes des manufactures à pensées, des usines à opinions.

Le son du tambour dissipe les pensées ; c'est par cela même que cet instrument est éminemment militaire.

La parole est dans le commerce des pensées ce que l'argent est dans le commerce des marchandises, expression réelle des valeurs, parce qu'elle est valeur elle-même.

Les débats politiques se résument trop souvent à des "dialogues de sourds pour pensées muettes".

Si les gens lisaient dans les pensées les uns des autres, il n'y aurait plus de rapports possibles.

Toutes les grandes actions et toutes les grandes pensées ont un début ridicule. Les grandes oeuvres naissent souvent au coin d'une rue ou dans la porte tournante d'un restaurant.

Le public n'a pas besoin de nouvelles pensées. Ce qui vaut le mieux pour le public, ce sont les bonnes vieilles pensées reconnues qu'il a déjà.

Pourquoi le monde se fait-il du souci ? Tous les chemins mènent au même endroit. Toutes les pensées vont au même but.

L'homme est une plante qui porte des pensées, comme un rosier porte des roses et un pommier des pommes.

Le passage au troisième millénaire, en philosophie, c'est peut-être cela : réaliser qu'on n'accomplira des progrès qu'en passant par des pensées minuscules et non plus majuscules.

Concentrez toutes vos pensées sur le travail à accomplir. Les rayons du soleil ne brûlent pas jusqu'à ce qu'ils soient concentrés.

J'aime les citations car c'est une joie de trouver des pensées que l'on pourrait avoir, admirablement exprimées avec beaucoup d'autorité par quelqu'un de plus sage que soi-même.

Que la science que nous acquérons par la lecture ne soit pour nous que le ciseau du sculpteur ; qu'elle nous aide à tailler le bloc de pensées et de sentiments qui fait le fond de nous-mêmes.