Mes trois dépendances sont la nourriture, l'amour et le travail.

Nous étions une famille très pauvre. Quand j'étais petit, nous étions dans notre petite chambre et on entendait frapper à la porte presque tous les soirs, un clochard qui demandait de la nourriture. Même si nous n'avions même pas assez à manger, ma mère a toujours trouvé quelque chose à leur donner.

Vous définissez un agréable vol par des négations : vous n'avez pas été détourné, vous ne vous êtes pas écrasé, vous n'avez pas vomi, vous n'êtes pas en retard, la nourriture ne vous a pas rendu malade. Vous êtes donc reconnaissant.

Dans la tristesse, on se met à poil.

Quand j'ai un peu d'argent je m'achète des livres et s'il m'en reste, j'achète de la nourriture et des vêtements.

Ce qui est une nourriture pour l'un, est un poison pour l'autre.