Qui prêche la guerre est le chapelain du diable.

L'homme naît avec des sens et des facultés ; mais il n'apporte avec lui en naissant aucune idée : son cerveau est une table rase qui n'a reçu aucune impression, mais qui est préparée pour en recevoir.

La mémoire fait à notre place des choix qui façonnent nos personnalités et font de chacun de nous le reflet de ce que son cerveau a emmagasiné.

On se demande, si en matière de bonté, le Diable n'est pas plus généreux que le bon Dieu.

Des moyens très simples créent la terreur : une porte qui s'ouvre, un jardin sous la lune... On ne voit pas le diable et son oeuvre.

La précipitation vient du Diable ; Dieu travaille lentement.