C'est drôle de voir comment, même longtemps après que vous ayez accepté le chagrin de perdre quelqu'un que vous aimez et que vous viviez vraiment dans votre vie, de temps en temps, quelque chose se présente, qui joue "gotcha", et pendant un instant le tissu cicatriciel se sépare et la plaie est à nouveau brute.

C'est que la révolution ne peut être vraiment vaincue.

Tous les hommes meurent un jour, mais peu d'entre eux vivent vraiment.

L'être humain a deux visages : celui qu'il nous montre et celui qu'il a vraiment.

Quand le visage montre un trop beau sourire, c'est pour cacher un coeur dur comme la roche des champs.

César est un personnage que Goscinny et moi n'avons pas vraiment caricaturé. Jamais nous n'avons voulu trop le ridiculiser.